CONFIDENCES : (2ème partie) L’étrange histoire de trois amis partouzeurs, qui ont contracté le virus du SIDA

Comme promis la semaine dernière, voici la 2ème partie de l’histoire des trois mecs qui ont contracté le virus du SIDA dans leur folie de jeunesse. Une histoire à vous couper le souffle, recueillie grâce au témoignage sous anonymat, d’un des acteurs. Lisez…

« ….Après la réception, nous avions décidé de sortir prendre un pot à quatre. Duc était avec nous jusque-là. Le programme était d’enterrer sa vie de jeune célibataire. Tout devait-être permis sauf qu’après quelques bouteilles, notre marié demanda à rentrer se reposer pour être en forme le lendemain. Nous aurions dû faire pareil vu que sa décision était la meilleure mais l’alcool, la musique assourdissante et les magnifiques filles qui rentraient et sortaient de la boite de nuit nous en dissuadèrent. Une particulièrement avait laissé toute ma troupe effarée. Elle était grande, de teint noire ébène, elle avait une coupe courte fendue sur le Côté et arborait un une mini robe moulante à paillette or. Elle brillait cette fille avec ses longues jambes superbement lisses qui se terminaient par des escarpins de couleur noire. Pour seuls bijoux, elle avait des boucles d’oreilles en point. Elle était superbe. Le genre de fille qui aurait rendu plus d’un heureux et fière si elle avait choisi de devenir mère au foyer, pagne noué aux reins, et débardeur laissant découvrir la naissance de ses seins fermes qui tenaient tels deux calebasse avec des bouts marqués. Elle était adossée au bar et refoulait de temps en temps les avances de certains clients de la boite qui comme nous devenaient fous et curieux face à elle. Elle faisait causette quelques fois avec l’une des serveuses, la même qui venait nous servir et c’est auprès de celle-là que nous prendrons des renseignements sur elle. – Mayane elle s’appelle. C’est une amie, rassurez-vous ce n’est pas une pute. Je l’ai obligé à sortir ce soir et à m’accompagner au boulot, je ne voulais pas quelle reste seule, elle n’avait pas le moral. – Ah oui et pourquoi ? Elle est superbe votre copine. Vous pouvez nous la présenter ? Mes amis et moi serons très heureux de la connaitre. – … Je ne sais pas, je vais lui demander et je vous reviens. La serveuse s’éloigna et après avoir échangé quelques mots noyés par la musique trop forte, Mayane regarda dans notre direction et nous fit un coucou de la main. – C’est gagné les gars avais-je dit en la voyant descendre de son tabouret et se diriger vers nous. Punaise qu’elle beauté ! Mayane avait une chute des reins spectaculaire. Des fesses bombées fantastiques. Cette fille était une vraie déesse. Mes copains et moi nous étions jetés des coups d’œil. Cédric fut le premier à proposer. – Les gars, une beauté pareille il est impossible qu’un seul la garde. – Shut elle arrive avait répondu Benoit. Déjà Mayane se glissait sur le fauteuil libre, entre Benoit et moi. Cette fille n’avait vraiment rien d’une prostituée. Nous avions l’habitude des prostitués et Mayane était bien à l’opposé. Elle ne semblait pas du tout à son aise dans la petite tenue qui lui servait de pudeur. Elle tirait sur les bords comme un tic de nervosité. – Vous ne voulez rien boire ? Soyez à l’aise nous ne mordons pas. – Je sais, mais je n’ai pas soif. Mon amie m’a dit que vous vouliez me parler. – Exactement, nous sommes curieux de faire connaissance. Vous êtes superbe. Que fait une si belle créature seule dans la nuit. Ce n’est guère prudent ça. – Je me change les idées, comme vous manifestement. – Vu juste. Nous sommes moi, David pour ma part et là vous avez Benoit et Cédric. – Enchantée Messieurs. Cette fille nous fascinait tous. Et des cochonneries, nous en avions déjà fait de par le passé mais cette nuit-là, rien n’était prévu d’avance. Nous étions soulés et la désirions tous. Elle n’était pas une prostituée mais nous ne faisions plus de différence, c’était égoïste de notre part. Nous avions l’habitude de penser que toute femme seule dans une boite de nuit ne pouvait qu’être une prostituée. Après elle pouvait refuser de l’assumer, cela ne faisait pas d’elle une sainte non plus. La discussion prenait une ampleur particulière car mes deux potes ne tenaient pas du tout en place. Surtout Benoit qui tenait très mal à l’alcool mais nous étions là pour nous amuser alors s’aurait été elle ou une autre mais une ou des filles allaient forcement y passer cette nuit-là. Nous avons insisté pour qu’elle prenne quelque chose, au début elle avait catégoriquement refusé mais au final elle accepta de nous accompagner et se fit servir un panaché de Red label et coca. Cédric y avait mis plus de liqueur qu’il ne fallait mais le voyant faire j’étais plutôt excité au lieu d’en être offusqué. Méchant je sais. Nous avions été les êtres les plus égoïstes au monde. Nous pensions ainsi manipuler une pute de plus, profiter d’elle et au revoir, ce pourquoi, lorsqu’elle commença à délirer, nous étions heureux d’avoir enfin atteint notre objectif. Mayane parlait sans arrêt, une preuve irréfutable qu’elle était dans les vapes, elle ne devait vraiment pas tenir à l’alcool cette fille, elle avait fini par enlever ses chaussures, et riait aux éclats.

Retrouvez la suite de l’histoire en début de semaine. Bonne lecture

Maurice Souaré