CONFIDENCES : L’étrange histoire de trois amis partouzeurs, qui ont contracté le virus du SIDA
«…Nous avons voulu profiter de cette fille…nous voulions juste tirer un coup mais … elle venait de nous condamner à combattre le SIDA, tout le restant de nos vies » GuinePeople vous relate l’histoire incroyable de trois amis qui ont contracté le virus du SIDA dans leur folie de jeunesse. Une histoire à vous couper le souffle, recueillie grâce au témoignage sous anonymat, d’un des acteurs. Lisez…
Cette histoire est bien la mienne. Un regret éternel pour mes bêtises de jeunesse. Des bêtises qui aujourd’hui même quand j’y repense ne m’ont jamais servi à rien. La jeunesse est une étape difficile. Difficile parce que lorsque vous vous y lancez sans base chrétienne ou que vous ratez votre base, et chrétienne et éducative, vous avez très peu de chance de vous en sortir. Pour être jeune et aspirer à une belle vie, il faut avoir des rêves et une vision qui élimine dare-dare toute pratique ou situation compromettante. Je ne l’avais pas compris ainsi.
J’étais comme mes 3 amis, jeune et insoucieux. Insoucieux certes mais jusqu’à ce soir-là ou tout bascula, j’étais un jeune quand-même ambitieux. Je n’étais pas un bon chrétien. Je l’avoue en confession. J’allais à peine à l’église. Mais je ne ratais jamais les virées en boite de nuit avec Cédric, Benoit et Duc. Nous avions bien réussi nos vies respectives. J’étais sorti diplômé d’une des plus prestigieuses écoles de commerce de France et venais d’être recruté avec de superbes conditions. Mes trois potes étaient respectivement, chef d’entreprise, informaticien et commercial. Mon premier boulot payait vraiment bien pour un jeune africain que j’étais. Chacun de nous gagnait bien sa vie et nous avions un point commun, nous étions tous du même pays. Nous prévoyions ce voyage retour au bercail comme si c’était le dernier de notre vie. Un peu, me direz-vous car il fut le dernier et nous nous étions jurés de ne plus jamais y retourner après l’épisode que je vais vous narrer. Duc devait aller se marier. Tout avait été mis en place pour offrir à notre ami le mariage le plus somptueux de notre génération. Nous avions fait des folies en matière de dépenses et nous en avions conscience mais il était de règle que le premier qui se marierait parmi nous sera le plus gâté. Pour cause, nous étions des célibataires attitrés. Duc sera d’ailleurs le seul à s’être tiré d’affaire. Le mariage a du bon, définitivement. Je sais que s’il ne devait pas se marier le lendemain matin, il nous aurait suivis dans notre délire. D’ailleurs si nous avions été tous engagés, nos vies auraient été bien meilleures. Nous avions envoyé deux mois avant les festivités, des cartons de Vodka, des centaines de vins de luxe et des champagnes. Chacun avait prévu 10 000 euros rien que pour le plaisir. Nous nous étions pris trois villas meublés avec piscine dans un des quartiers les plus huppés de la ville et avions loué de grosses cylindrés. Nous devions en mettre plein la vue à tous car partir en Europe n’avait du tout pas été facile pour certains d’entre nous… Bref une autre histoire. Ce retour était vraiment le Coming-back du siècle pour nous. Nous étions prêts. Témoin et garçons d’honneurs, nous avions tout assuré entre nous. Ce petit clan était vraiment le plus beau cercle amical que jamais je n’avais vu de toute ma vie. Nous étions très soudés, dans la joie comme la peine. Il était difficile de nous séparer, nous avions vraiment tout en commun. Venus de familles différentes, les gens nous croyaient frères. Nous ne l’étions même pas mais nos liens étaient encore plus soudés que ceux familiaux. Arrivés au pays, nous avions été accueillis par les anciens amis, les cousins, les frères, parents… les demoiselles d’honneur et la mariée. Elles étaient magnifiques. J’avais même fait une blague sur leur forme pour l’ensemble, de guêpe. Ces filles avaient eu l’air d’avoir été choisies simplement pour leurs courbes et reliefs structurés. Ça promettait. La mariée était certainement la plus jolie du lot. Notre Duc les aimait rondes et claires et il avait eu gain de cause auprès de Dieu. Sa côte était la femme ronde dont les courbes suivaient une proportion merveilleuse. Il avait eu l’œil. Elle pouvait même nous donner un tout petit peu l’envie de nous marier nous aussi mais il en était hors de question, nous ne nous sentions pas prêt. J’avais activé mes anciennes gos. Elles avaient pris pour certaines, de l’âge, pour d’autres, quelques rondeurs mal placées et pour les plus ambitieuses, elles avaient une bague au doigt, un homme dans leur vie et une porte de sortie de sécurité de temps en temps, je vous explique. Elles étaient mariées mais n’avaient aucun scrupule à tromper leurs hommes de temps en temps pour quelques billets d’euros que nous exhibions fièrement. J’étais même étonné d’entendre deux de mes ex, qui étaient mariées et mères, me dire qu’une aventure de temps en temps ne faisait que consolider le couple. C’était d’ailleurs ce genre de comportement de certaines de nos sœurs africaines qui nous réconfortaient dans notre choix du non engagement. Elles semblaient toutes ne plus connaitre le caractère sacré du mariage ou de l’engagement. Les européennes n’en parlons plus, c’était un grand n’importe quoi. Nous avions assisté à toutes les festivités, notamment la première qui était la dot faite la veille même du mariage civil…
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Maurice Souaré