CONFIDENCES : L’étrange histoire de trois amis partouzeurs, qui ont contracté le virus du SIDA (dernière partie)
Voici la dernière partie de la captivante histoire des trois mecs qui ont contracté le virus du SIDA dans leur folie de jeunesse. Une histoire à vous couper le souffle, recueillie grâce au témoignage sous anonymat, d’un des acteurs. Lisez…
“De temps en temps, elle se laissait caresser les cuisses par Cédric et Benoit ou même moi sans broncher, puis les seins, heureusement que nous étions installés dans un des carrés VIP peu éclairés de la boite. Mayane n’essayait même pas de résister, même quand nos doigts foulaient son entrejambe, elle gémissait et pas plus. Rapidement concertés, nous avions décidé de finir le travail dans les toilettes de la boite. Cédric y était allé en premier et était revenu nous faire signe d’amener notre proie. Nous l’avions soutenu alors qu’elle titubait et demandait où nous l’amenions. Les toilettes étaient bien entretenues pour des toilettes de boites de nuit. La salle était légèrement large. Benoit verrouilla derrière nous pour que personne ne puisse y entrer et déjà j’avais plaqué notre fille contre le lavabo avant de lui relever la robe… Elle n’aurait rien pu faire. Tout s’était passé trop vite, nous n’avions pas de préservatif et l’excitation était à son paroxysme. Aucun de nous, dans notre état d’ébriété n’y avait pensé et pourtant nous avions toujours des cartons de préservatif dans nos véhicules pour ces genres de situation. A tour de rôle nous avions couché avec elle, elle n’avait pas une seule fois essayé de nous en empêcher. Elle semblait même indifférente au traitement que nous infligions à son magnifique corps. Chacun avait pris son pied et nous étions sortis l’un après l’autre de ces toilettes, heureux et déchargés du poids de nos bassins. Mayane sortira en dernière position, un peu moins ivre et apparemment consciente de tout ce qui venait de se passer. Elle viendra s’assoir à côté de moi et me tendra la main. – Vous me payez à présent, je dois rentrer je n’ai pas que ça à faire. Sa réaction me fit tiquer. Ce n’était vraiment plus la fille docile et douce de tout à l’heure qui me parlait ? C’était une vraie pute qui exigeait son butin en retour des services offerts. Mince alors s’en était une. Je me réjouissais intérieurement qu’elle soit une prostituée, cela m’épargnait les remords du lendemain. – Soit, fis-je avant de lui tendre au nom de tous je crois cinq billets de 100 Euros. Je n’avais même pas réfléchi, ce n’étais pas l’argent qui nous manquait. Puis sans hésiter, je lui dis : – Et si on poursuivait cette petite soirée chez nous ? Tu veux venir ? – Non, je dois rentrer. Je ne suis pas une prostituée je vous l’ai dit mais je ne suis pas bête non plus. Adieu. Elle se leva et partit échanger quelques mots avec son amie avant de sortir de la boite de nuit. Nous étions épuisés et étions rentrés vers 4h du matin. Le mariage était à 14h ce qui nous laissait le temps de bien dormir. Aucun de nous n’avait posé de question ni n’était revenu sur ce qui s’était passé la veille. Cet épisode était clos et n’avait juste jamais existé. Le mariage se déroula parfaitement. Nous étions aux côtés de notre Duc, plus beau que jamais. Les filles d’honneur nous faisaient les yeux doux et déjà nous avions nos plans pour la fin des festivités. Passer de superbes vacances, nous en avions vraiment l’intention et il en sera le cas en conclusion. Mais je n’arrivais pas à oublier cette fille. Mayane. J’étais dans le lot le seul parce que mes deux potes n’en avaient jamais parlé. Je fus même surpris pas l’idée de retourner à la boite dans l’optique d’y trouver son amie. Je voulais son numéro de téléphone. Mais c’était dégelasse parce que nous avions tous trois couché avec elle. Quel que soit ce que je pouvais dire, la base était faussée. Retourner sur son lieu de crime serait un nouveau crime alors j’abandonnai l’idée. Seulement il m’était difficile de fermer l’œil certaines nuits lorsque je revoyais son air candide et presque ailleurs. Les quelques bribes qui me revenaient me rappelaient une fille posée et sincère alors je nous en voulais de lui avoir affligé un tel traitement. Je le pensais sans jamais en parler aux autres jusqu’à notre retour en Europe. La vie reprit son cours normal et le stresse quotidien était au rendez-vous. Je m’étais rendu à l’hôpital pour faire mon bilan de santé trimestriel comme toujours. C’était la routine chez moi et je ne me voyais pas angoisser pour quelque raison que ce soir car je ne me rappelais pas avoir pris de risques… Mais la tête que fit cette infirmière me glaça sur place. Je pris connaissance de mon nouveau statut sérologique avec fracas. – Vous avez le SIDA Monsieur. Comment est-ce possible ? Vous ne preniez jamais de risque et vos résultats ont toujours été réglo ? Je n’y comprenais rien non plus et sous le choc, je pris ma tête entre les mains et me remémora toute ma vie au cours de ses trois derniers mois. J’avais fait mon bilan juste avant le mariage me rappelai-je. Le mariage… Mayane, Seigneur Non m’écriai-je. Non et non. Cette fille avait le SIDA. Je sortis de l’hôpital presque en course, les résultats en main sous le regard perplexe de l’infirmière qui se donnait un mal fou à me consoler et me parler d’antirétroviraux.
J’appelai mes deux amis tard dans la soirée, j’avais besoin qu’on se parle sérieusement. Ils débarquèrent chez moi vers 21h. Je ne tardai pas à leur remettre l’enveloppe. – Quoi c’est quoi cette folie ? Tu es séropositif ? S’écria Cédric. – Sérieux ? Renchérit Benoit. – Les gars nous avons merdé. Je suis séropositif, et je n’en reviens toujours pas, j’ai du mal à l’admettre. J’ai toujours fait preuve d’une extrême prudence, alors je ne comprends pas comment nous n’avons pas pu faire preuve de prudence cette nuit-là. – Nous ? De quoi tu parles ? Quoi nous ? Laissant couler quelques minutes de silence et de rappels, Cédric poussa un cri. – Non, ne me dis pas que… – Si Cédric. Nous avons foutu la merde. C’était la seule fois que je couchais sans préservatif avec une fille d’un soir… Je n’ai plus remis ça. C’est fou mais je crois qu’on s’est royalement fait avoir. Cette fille nous a simplement niqués. Elle nous a transmis son virus. Je n’y crois pas. Qui fait ça ? – Punaise les gars, vous me faites flipper. On doit aller faire le test nous aussi finit par dire Benoit qui restait silencieux depuis le début. On a fait les cons. Nous décidâmes de refaire nos tests dès le lendemain dans deux autres cliniques. Il était formel qu’il ne fallait pas en toucher mot à Duc. La déception aurait été trop grande pour celui qui venait d’aménager avec son épouse et attendait un bébé. Les résultats étaient les mêmes sur trois essaies. POSITIFS pour nous trois, nous avions le virus du SIDA. Contracté de la pire des manières, un peu comme un châtiment divin. Nous avions voulu profiter de cette fille, nous ne l’avions pas respecté et voulions juste tirer un coup mais malheureusement elle avait un autre coup pire que tous pour nous. Elle venait de lancer nos pronostics vitaux. Elle venait de nous condamner à combattre cette maladie tout le restant de nos vies. Mayane, la belle Mayane. Qui pouvait l’incriminer parmi nous ? Qui pouvait l’accuser ? Nous n’étions pas mieux du tout. Cédric et Benoit avaient très mal géré cet épisode de leur vie. Tellement mal qu’ils jurèrent de ne plus jamais mettre pied au pays. L’envie de retrouver Mayane m’avait pris mais pour quoi faire. Elle avait le SIDA et moi aussi grâce à elle à présent. Tout ce qui nous restait à faire était les ARV. Toute notre vie. Aujourd’hui nous sommes tous les trois toujours vivants, tous les jours est une bénédiction et c’est fou mais c’est après cet épisode que l’instinct de mariage naquis en nous… ” Témoignage Anonyme
Maurice Souaré