Mode : La culture vient au secours aux malades du VIH

Mode : La culture vient au secours aux malades du VIH

La maison IKEGNIN et N’happy Locks hair  conjuguent conjointement les efforts, pour la promotion de la culture noire et le naturel. L’objectif de leur œuvre est, initié le 1er  décembre prochain, la journée Master Class Afro Day. Une journée à la quelle, on passera à la démonstration de plusieurs activités culturelles.  Ce, pour venir en aide des personnes atteintes du VIH.

En jumelant leurs passions, qui sont successivement, la revalorisation de la culture africaine et l’humanitaire. Fatou Konaté de la maison IKEGNIN, une structure qui revalorise le textile africain à travers des accessoires qui tranchent entre modernité et le style traditionnel.Quant à la maison Nobi N’happy Locks hair, une structure spécialisée dans le soin et entretien des dreadlocks,des cheveux afro,elle  entende démontrer, qu’on peut bien jumeler l’action sociale et formation, mais en même temps partager leur savoir-faire.C’est dans l’enceinte d’un complexe hôtelier de la place, que se déroulera cette journée festive.

Selon Nobi et Fatou, c’est pour décontracter et créer un climat de convivialité que les activités se dérouleront au bord d’une piscine ce 1er  décembre. Étant la journée Mondiale de lutte contre le VIH Sida, les fondatrices D’IKEGNIN et N’happy Locks hair ont prévu de verser une partie des fonds qui seront recueillis lors de cette journée, pour aider une structure qui lutte contre le Sida.

Les thèmes choisis pour cette première édition sont entre autres: le make-up, la routine capillaire des dreadlocks et cheveux afro, le bien-être et la santé qui seront marqué par des sensibilisations. C’est l’ex ministre des sports Domani Doré qui a été choisie comme marraine de cette édition. Selon l’une des organisatrices de cet événement, le choix est né du fait qu’elle est une femme naturelle « Nous faisons la promotion du naturel et du traditionnel, et madame Domani est naturelle avec une peau naturelle et des cheveux naturels, d’où notre choix », nous a-t-elle confiée avec conviction.

Éva Didja Bamba

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